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Rencontre avec Bertrand Madet, Software Engineer chez Safran Analytics

Ressources Humaines

Bertrand Madet a rejoint Safran Analytics en janvier 2016 en tant que Software Engineer. Découvrez son parcours et son métier au sein de l’entité du Groupe dédiée à l’exploitation des données.

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Quelle est votre mission au sein de Safran Analytics ?

Bertrand Madet : En tant que Software Engineer, ou ingénieur développement logiciel, ma mission consiste à fabriquer ou à adapter des logiciels afin de résoudre des problèmes spécifiques. Il faut également savoir stocker et organiser les données d’une manière adéquate pour répondre aux besoins des Data Scientist : on appelle cette phase la « préparation des données ». Un autre aspect de mon travail consiste à aider à l’implémentation des algorithmes, c’est-à-dire à s’assurer que le processus mathématique présent dans le logiciel est correct.

Le Software Engineer doit donc savoir coder, savoir évaluer son code et le tester.

 

Quelle formation avez-vous suivie pour devenir Software Engineer ?

B. M. : Je suis diplômé d’une école d’ingénieurs en électronique, Phelma – ex Enserg. J’y ai découvert le développement logiciel et j’ai commencé ma carrière en suivant cette passion. Cette orientation a été facilitée par la bonne connaissance du fonctionnement des ordinateurs acquise pendant mes études.

J’ai débuté ma carrière chez Safran au sein de Sagem (aujourd’hui Safran Electronics & Defense) où ma mission était de développer des solutions dédiées à l’optronique et à la sécurité des systèmes informatiques. J’ai intégré Safran Analytics en janvier 2016 : c’était pour moi l’opportunité de poursuivre dans le domaine du développement logiciel.

 

Quelles sont les qualités requises pour exercer votre métier ?

B. M. : Il faut être à la fois créatif et discipliné. Comme il y a souvent plusieurs manières de résoudre un problème, il faut être en mesure de trouver celle qui soit à la fois la plus simple, et la plus facile à comprendre par les personnes à qui l’on s’adresse. Comme tous les gens concernés doivent pouvoir s’y retrouver facilement, cela demande de la rigueur.

La curiosité est également indispensable, car c’est un domaine qui est en constante évolution.

 

Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre travail ?

B. M. : Il y a toujours des changements, beaucoup de choses à apprendre, d’autres approches à découvrir… Une vie entière ne suffirait pas pour faire le tour de ce métier. A l’image de société moderne dans laquelle nous vivons, c’est un métier changeant, et c’est ce qui est intéressant.

C’est également un travail qui permet de comprendre le fonctionnement des choses du quotidien qui peuvent sembler mystérieuses, comme la façon dont marche un smartphone, par exemple.

 

Exercer ce métier dans un groupe tel que Safran, c’est aussi l’appliquer à des domaines qui ont de fortes exigences comme l’aéronautique, l’espace et la défense : on apprend donc beaucoup.

 

Où vous voyez-vous dans quelques années ?

B. M. : Je vis actuellement une expérience très enrichissante, et pour être honnête, pour le moment je ne me pose pas vraiment la question. Ce métier va de plus en plus monter en puissance dans les prochaines années, je n’ai pas d’inquiétude sur son évolution au sein de Safran.