#AmazingJob At Safran Nacelles : « En production, chaque réussite est un moteur pour avancer. »

De Safran Engineering Services à Safran Nacelles

« Je suis convaincu que l’on peut tout faire avec de la motivation et un environnement accueillant », annonce Nicolas Gonfroy en évoquant son parcours. Lorsqu’il entre chez Safran Engineering Services en tant qu’ingénieur méthodes détaché auprès de Safran Nacelles juste après l’obtention de son diplôme d’ingénieur, il se projette dans ce métier sans imaginer que la vie lui ouvrira bien d’autres portes… « J’étais plutôt craintif, mais j’ai pris confiance en moi à mesure que j’ai osé prendre des risques », estime Nicolas.

Après cinq ans aux méthodes d’industrialisation, il passe en bureau d’études, toujours pour le compte de Safran Nacelles, sur le programme nacelles Airbus A330neo dont le développement démarre tout juste. « C’était un métier que je ne connaissais pas du tout et un planning très ambitieux », se souvient Nicolas. Après un an et demi, il est affecté au poste de responsable programme sur la nacelle d’unavion d’affaires. Là encore, il acquiert rapidement sur le terrain les compétences nécessaires. S’ensuit une mission de deux ans au cours de laquelle il crée un plateau d’assistants chefs de projet (PMO, Project Manager Officers) pour l’ensemble des sociétés de Safran. Puis il renoue avec la gestion de programmes sur la nacelle du Pearl 700. Mais cette fois, en tant que salarié de Safran Nacelles.

Manager des programmes puis des équipes

Enfin, après quatre années couronnées par la certification de la nacelle du Pearl 700, Nicolas devient manager de proximité en production à l’atelier tuyères métalliques de Safran Nacelles au Havre, poste qu’il occupe actuellement. « Mes premiers changements de postes étaient des opportunités que j’ai saisies ; le dernier est un véritable choix professionnel, analyse Nicolas. J’avais suffisamment de recul pour savoir ce que je voulais : rester dans l’industrie et encadrer non plus des projets, mais des équipes. »

Là encore, rien n’était gagné : manager une vingtaine de chaudronniers soudeurs dans un contexte de forte croissance est un défi de taille ! Mais Nicolas a vite compris qu’il ne s’était pas trompé. « Je suis reparti de zéro et je ne le regrette pas du tout, même si je reconnais que c’est très dense. Alors que la gestion de projet ou de programme est un travail de longue haleine, en production on gère des challenges quotidiens. Avec des hauts... et des bas ! Cela requiert beaucoup de rigueur, une grande capacité de travail et de la persévérance. Chaque réussite est un moteur pour avancer. »

La suite ? « J’ai encore beaucoup à apprendre, estime Nicolas, mais je sais qu’un jour ou l’autre, j’aurai à nouveau envie d’explorer d’autres horizons. Toujours dans le management et dans un environnement industriel, mais peut-être avec un angle plus stratégique. » Pour l’heure, il se sent épanoui dans son poste et fier d’appartenir à un groupe qui concilie haute technologie et développement durable. « Au sein de l’atelier, nous explorons actuellement plusieurs pistes pour réduire nos consommations d’énergie, explique-t-il. De petites actions, telles qu'éteindre une machine le week-end, peuvent donner de grands résultats. Un peu comme dans les sports collectifs, où chaque joueur contribue au succès de l’équipe. » Et il en sait quelque chose, puisqu’il joue au football en club depuis son plus jeune âge...